Parfois je perds la trace des rêves qui ont fait vivre et battre mon
cœur
au temps de ma jeunesse, et je doute de l’avenir.
Pour aller plus loin,
plus haut, et continuer de vouloir vivre et espérer,
je dois plonger mon esprit
en la mémoire de Dieu,
celle de sa Parole et celle de tous ses témoins
à
travers les âges dans la communion ecclésiale.
C’est alors que mon regard se tourne vers le Christ,
il inonde mes ténèbres de sa lumière.
Il n’y a plus de regrets de n’avoir pas
su dire « je t’aime »,
il n’y a plus qu’un pardon, celui du présent, un
aujourd’hui de la vie,
une simple joie et douce paix, avec un visage à aimer …
Patrick Cannard