Marie



 
Il a suffi qu’un jour te parviennent les mots de l’ange Gabriel qui s’invitait chez toi  pour qu’aussitôt s’éveille au plus profond de toi le désir de servir ce Dieu qui t’appelait.

Tu as donné la vie à Celui qui te fait vivre. Tu ignorais alors où il te conduirait.

Des fleurs de Galilée à l’aride montagne, tu l’as pris pour chemin en toute confiance.

Nous voulons avec toi entendre les appels du Dieu qui nous invite au cœur de nos étés. Les « Galilée » du monde, les déserts infertiles attendent encore les semeurs de la vie.

                                                                                                              Claude Brehm

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