Les richesses, qu’elles soient
matérielles ou spirituelles, peuvent nous asphyxier si on n’en a pas un
juste usage. Car Dieu lui-même ne peut rien placer dans un cœur déjà
plein à craquer.
Un jour ou l’autre, inévitablement, il en ressort un appétit d’argent et une avidité de tout ce que l’argent peut procurer — la recherche du superflu, du luxe pour ce qui est de se nourrir, se vêtir ou s’amuser.
Les besoins vont alors croissant, une chose appelant l’autre. Mais au terme on trouve un sentiment incontrôlable d’insatisfaction.
Demeurons aussi vides que possible afin que Dieu puisse nous remplir.
Un jour ou l’autre, inévitablement, il en ressort un appétit d’argent et une avidité de tout ce que l’argent peut procurer — la recherche du superflu, du luxe pour ce qui est de se nourrir, se vêtir ou s’amuser.
Les besoins vont alors croissant, une chose appelant l’autre. Mais au terme on trouve un sentiment incontrôlable d’insatisfaction.
Demeurons aussi vides que possible afin que Dieu puisse nous remplir.
Mère Teresa