Si faisant l'oraison
vocale, vous sentez votre cœur tiré et convié à
l'oraison intérieure ou mentale, ne refusez point d'y aller,
mais laissez tout doucement couler votre esprit de ce côté-là,
et ne vous souciez point de n'avoir pas achevé les oraisons vocales
que vous vous étiez proposées ; car la mentale que vous
aurez faite en leur place est plus agréable à Dieu et
plus utile à l'âme.
Saint François de Sales, Introduction à la vie dévote, II-1
Saint François de Sales, Introduction à la vie dévote, II-1