Ultreia...






Oui, partez et soyez à l'écoute de Dieu.
Partez comme des femmes et des hommes libres,
car à l'écoute de Dieu,
rien ni personne ne peut nous lier,
rien ni personne ne peut nous enfermer.
A l'écoute de Dieu,
la loi est proche de l'homme.
Elle ne l'écrase pas, elle ne l'humilie pas.
Si toi, mon frère, tu as des choses à dire à ton frère,
au nom de Dieu, alors écoute-le, entends-le surtout.
Laisse résonner en toi sa Parole comme un gong,
et toi, vibrant de cette passion-là,
de la passion de Dieu, pars et dis Dieu.
Dis Dieu qui est tombé.
Dis Dieu qui est blessé.
N'aie même pas peur de dire Dieu qui meurt,
car, tu le sais, toi qui es à l'écoute,
ton Dieu est naissance.
Père Robert Riber

La Marsellaise...





Pour tous les enfants de la terre
Chantons amour et liberté.
Contre toutes les haines et les guerres
L'étendard d'espoir est levé
L'étendard de justice et de paix.
Rassemblons nos forces, notre courage
Pour vaincre la misère et la peur
Que règnent au fond de nos coeurs
L'amitié la joie et le partage.
La flamme qui nous éclaire,
Traverse les frontières
Partons, partons, amis, solidaires
Marchons vers la lumière.
Graeme Allwright

La première en chemin...


Les baguettes...







Un jour, on demanda à un sage
de donner sa vision du paradis et de l'enfer.


En enfer, dit-il, je vois des hommes qui sont attablés

devant de grands plats de riz,
mais ils meurent de faim, car les baguettes
à leur disposition pour se nourrir
sont longues de deux mètres !

Au paradis par contre, je vois les mêmes hommes
assis à la même table et tenant les mêmes baguettes !
Mais ceux-là sont heureux et en bonne santé.
Car chacun se sert de ses baguettes
pour nourrir celui qui est en face de lui...

Conte oriental

Glorificamus te

Le luth...






Quand il nous arrive de tomber,
par les soudaines attaques de notre amour-propre 
ou de nos passions,
prosternons nous devant Dieu 
aussitôt que nous pouvons.

Disons en esprit de confiance et d'humilité :
" Seigneur, miséricorde, car je suis infirme!"
Relevons nous en paix et tranquillité,
et renouons le filet de notre amour,
puis continuons notre ouvrage.

Il ne faut pas ni rompre les cordes, ni quitter le luth
quand on s'aperçoit d'un désaccord.
Il faut prêter l'oreille pour voir 
d'où vient le dérangement
et doucement tendre la corde ou la relâcher,
selon que l'art le requiert.

St François de Sales

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