




Apprends aux jeunes à dire oui...
Ô Vierge de Nazareth,
le « oui »
que tu prononças dans ta jeunesse
a marqué ton existence et est devenu
a marqué ton existence et est devenu
aussi grand que ta vie
elle-même.
Ô Mère de Jésus, dans ton « oui » libre et joyeux
Ô Mère de Jésus, dans ton « oui » libre et joyeux
et dans ta foi
agissante,
de nombreuses générations et de nombreux éducateurs
de nombreuses générations et de nombreux éducateurs
ont trouvé
inspiration et force
pour accueillir la parole de Dieu et accomplir sa volonté.
Ô maîtresse de vie, apprends aux jeunes
pour accueillir la parole de Dieu et accomplir sa volonté.
Ô maîtresse de vie, apprends aux jeunes
à prononcer le « oui »
qui donne sa signification à l’existence et fait découvrir
le « Nom » caché par Dieu au cœur de toute personne
qui donne sa signification à l’existence et fait découvrir
le « Nom » caché par Dieu au cœur de toute personne
St J-Paul II
Laissons Dieu nous aimer...
Nous autres, gens de la rue,
nous sommes bien sûrs que nous ne pouvons aimer Dieu autant qu’il a envie
d’être aimé de nous.
Nous ne pensons pas que l’amour
soit chose brillante mais chose consumante.
Nous pensons que faire de toutes petites choses pour Dieu nous le fait autant aimer que de faire de grandes actions. D’ailleurs nous pensons être forts mal informés sur la taille de nos actes.
Nous pensons que faire de toutes petites choses pour Dieu nous le fait autant aimer que de faire de grandes actions. D’ailleurs nous pensons être forts mal informés sur la taille de nos actes.
Parce que nous trouvons dans
l’amour une occupation suffisante, nous n’avons pas pris le temps de classer
les actes en prière et en action. Nous trouvons que la prière est une action et
que l’action est une prière ; il nous semble que l’action vraiment amoureuse
est toute pleine de lumière.
Alors la vie est une fête.
Chaque petite action est un
évènement immense où le paradis nous est donné, où nous pouvons donner le
paradis.
Qu’importe ce que nous avons à
faire…
C’est Dieu qui vient nous aimer.Laissons-le faire.
Madeleine Delbrêl
Le blé...
L’histoire de
mon âme, c’est l’histoire du blé.
Au printemps, j’étais
herbe au vent,
J’étais fleur, j’étais jeu et joie.
Alors, ô mon Dieu, je T’ai aimé.
J’étais fleur, j’étais jeu et joie.
Alors, ô mon Dieu, je T’ai aimé.
En été, mon
grain a mûri :
Je T’ai donné quelques œuvres.
Je T’ai donné quelques œuvres.
En automne, je
l’ai perdu !
Je n’ai plus à
te donner rien.
Je n’ai plus ni fleur, ni grain. Je ne suis plus moi,
Ni rien qui me ressemble.
De brisement en brisement,
Me voici réduite en poussière ;
Me voici grain battu, farine broyée ;
Me voici pain pétri, cuit, mordu, mâché, détruit.
Rien n’est resté de moi.
Je n’ai plus à
te donner ô mon Dieu
Ni fleur, ni fruit, ni cœur, ni œuvre ;
Plus rien qu’une bouchée soumise de pain sec.
Ni fleur, ni fruit, ni cœur, ni œuvre ;
Plus rien qu’une bouchée soumise de pain sec.
Ton pain comme
tu es le mien.
Marie Noël
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