S'arrêter...



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Oui, s’arrêter, 
Goûter une Parole, 
Partager un bout de pain,  
Et repartir. 


« Demandons la grâce que tout commence aujourd'hui, que notre vie s'éternise dans un présent donné et qu'il n'y ait plus de retour sur soi, sur notre passé, plus de regrets des choses qui ne sont plus, mais cette décision ferme et inébranlable de faire de notre vie un chef-d’œuvre de lumière et d'amour en étant simplement là au milieu des hommes, au milieu de notre famille, de notre bureau, de notre société et de ses enjeux de solidarité, toujours simplement là, comme une présence qui atteste celle vivante du Christ ressuscité et qui apporte la Lumière et le sourire de son Amour. »

Maurice Zundel

La Miséricorde...


Le pape François a procédé à l'annonce officielle et solennelle d'une Année sainte de la Miséricorde, on l'a vu lors des Premières Vêpres de la miséricorde samedi soir. Avec la lecture de la bulle d'indiction du Jubilé devant la Porte Sainte de la Basilique Saint Pierre. Rappelons que ce dimanche de la Miséricorde Divine, le dimanche après Pâques, a été institué par Jean-Paul II. Cette annonce avait été formulée précédemment le 13 mars, par le pape François lors de la journée des "24h pour le Seigneur", journée de prière et de réconciliation pendant le Carême. Pour mieux saisir l'enjeu de cette Année sainte et l'éclairer par une expérience pastorale concrète, nous sommes heureux de retrouver le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, qui est l'un des évêques accompagnateurs du Congrès pour la Miséricorde en France.

Miséricorde...

             Jésus demande une fête de la Miséricorde
 
Cette demande a été clairement formulée à une religieuse polonaise, sainte Faustine Kowalska (1905-1938). Le message de sœur Faustine a été noté dans le Petit Journal quelle a rédigé à la demande de Jésus et de ses confesseurs. Elle y a fidèlement noté tous les souhaits de Jésus, de même qu’elle a décrit l’union intime de son âme avec Dieu.

En 1931 :

« Je désire qu’il y ait une Fête de la Miséricorde…le premier dimanche après Pâques (…) doit être la Fête de la Miséricorde »

Les flammes de la Miséricorde me brûlent. Je veux les répandre sur les âmes ». (Petit Journal - & 49)

En 1936 :

La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles. Je désire qu’elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. (Petit Journal - & 698) 





  L'icône du Christ Miséricordieux
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C’est le jour où sœur Faustine a été canonisée par Jean-Paul II. En même temps, le pape décide que, dorénavant, dans toute l’Église, ce dimanche prendra le nom de « Dimanche de la Miséricorde divine ».

La place de cette fête dans l’année liturgique a été choisie par Jésus Lui-même. Cela montre le rapport étroit qui existe entre le mystère pascal de notre Rédemption et cette fête. Les textes de la liturgie de ce dimanche évoquent plusieurs fois la Miséricorde.

La Fête de la Miséricorde est d’abord un jour où l’on honore spécialement Dieu dans ce mystère.

Mais c’est aussi un jour de grâce pour tous, et surtout pour les pécheurs. Jésus a attaché à cette Fête de grandes promesses : 

Des Rameaux à la joie...

Des Rameaux à la joie...

Suivre le Christ...



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Suivre le Christ
C’est porter sa croix et subir l’injustice et les souffrances.
Comme lui.


Suivre le Christ

C’est donner et partager, servir plutôt que d’être servi.

Comme lui.


La joie qui en découle, c’est le cadeau de Dieu.

C’est savoir que ma vie est en accord avec ma foi.

C’est me savoir porté et supporté par celui qui m’a ouvert le chemin.



Anonyme

Où est ton trésor ?



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Le carême est le temps pour redécouvrir l’essentiel dans nos vies, ce qui constitue notre véritable trésor : «Qu’est-ce qui a du prix à tes yeux? Où est ton trésor? Quelles sont tes priorités? Qu’est-ce qui est important pour toi?»

Il nous faut «un cœur plein de discernement, un cœur intelligent et sage» pour savoir ce qui doit être conservé et ce qui doit être abandonné.

Le discernement nous aide à découvrir ce qui a de la valeur pour nous, à trouver les vrais trésors de nos vies, trésors qui donnent un véritable sens à notre famille, à notre travail, à notre existence.

Cette sagesse évangélique nous permet alors de le «tirer du neuf et de l’ancien», à partir de notre vécu chrétien. 

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